- Mille façons ....... de se toucher .......de sentir ........ " vital "
Massages au coeur du Toucher
Dans les traditions orientales, le toucher est un geste naturel visant à relier l’humain à l’univers, à réguler les rythmes énergétiques et à harmoniser le corps.
De l'exercice familial au soin thérapeutique
Dans de nombreux pays d'Extrême-Orient, comme en Inde, en Thaïlande, au Japon, le toucher est intégré dans la société sous forme de soins aux origines ancestrales. Le soin de toucher est fréquent, naturel; il rythme et imprègne la vie courante de la famille. En Inde, la femme enceinte et la jeune accouchée sont massées quotidiennement; tandis que le nouveau-né l'est deux fois par jour. Les enfants sont massés régulièrement jusqu'à l'âge de sept ans et les séances familiales de massages où chacun reçoit et donne un massage sont hebdomadaires. Dans ces sociétés, tout le monde est capable de soulager son voisin par quelques manœuvres ou stimulations des points du dos, des épaules…
Ces pratiques reposent sur une conception énergétique de l'être humain et de l'univers; le corps étant un amas d'énergie manifestée, vibrant en cohésion et donnant l'illusion d'un corps ferme mais non fermé. Dans la tradition ancestrale taoïste, si les pieds de l'homme touchent la terre, c'est parce qu'ils en réceptionnent sa force, sa stabilité, son énergie ascendante; et si la tête de l'homme est ronde, c'est parce qu'elle s'unit au ciel et que la voûte crânienne résonne avec la voûte céleste et en reçoit son énergie descendante. Si le cœur de l'homme est protégé dans sa poitrine sous le bouclier du sternum, un chemin d'énergie, le méridien, le relie à la main, afin que celle-ci 'réalise ce que lui dicte le cœur'(Zhan Zi). Le toucher vise à relier l'humain à l'univers, à réguler les rythmes énergétiques et à harmoniser le corps.
Le shiatsu est la pratique manuelle traditionnelle Japonaise. Il se pratique au sol, au travers des vêtements; et consiste à stimuler, par pressions les points des trajets énergétiques du corps décrit par la médecine chinoise et utilisés par l'acupuncteur. Il est fréquemment exercé sous une forme familiale de détente et de bien-être. C'est un moyen extrêmement efficace de soulager une personne des tensions accumulées par une semaine ou une journée de travail. Elle s'apprend facilement, en 60 heures de cours. Mais comme toutes les activités japonaises, la répétition de la pratique, la capitalisation d'expériences tactiles sur des individus variés, affine la conscience corporelle, la subtilité des perceptions et donne accès à une autre dimension du shiatsu. Pour celui qui s'y investit, la pratique devient un art et une discipline. Le praticien apprend à capter progressivement la qualité des énergies qui circulent dans le corps, à en percevoir les blocages, les dysfonctionnements; à sentir les besoins et les rééquilibrages à réaliser.
Le Sei Shiatsu se distingue par la prise des pouls 'chinois' qui informe de la circulation énergétique du receveur. Le praticien peut orienter le soin pour harmoniser l'énergie de l'individu sur celle de la saison, rétablir les équilibres entre les différentes fonctions du corps, ou restaurer la qualité énergétique des organes du corps. Il peut sentir de se connecter sur la sphère physique de la personne, la structure mécanique; comme sur les zones émotionnelles, ou même atteindre la dimension spirituelle invisible qui vibre plus intensément encore, mais dont les manifestations peuvent bloquer le corps tout entier. Le praticien tel le serrurier se servira de la bonne clé; tantôt un point, une manipulation, un massage profond, une simple main posée sur un grand plexus, une parole juste, un silence qui fait du sens. Tout devra être mis en place pour que les différentes couches de la personne vibrent à l'unisson comme un chant harmonieux et concerté : 'il faut soigner le corps afin que l'âme si plaise' disait déjà Sénèque.
La discipline énergétique du Shiatsu cherche à unifier les corps en un seul Corps, à libérer les tensions qui s'opposent à la résonance harmonieuse, à apaiser les émotions qui le submergent, à ouvrir les 'fenêtres du ciel', points situés sous la base du crâne, afin que l'esprit 'tel un oiseau ne soit plus prisonnier de la cage du corps' (Rumi).
Le Shiatsu Shi utilisera plusieurs techniques pour toucher au plus juste : plus ferme, plus profond quand la structure est bloquée, plus léger, plus coulant quand l'émotion enflamme le corps et génère des vagues dans les fluides vitaux, à peine présent quand sur certains grands points une seule intention au travers d'une visualisation suffit pour opérer efficacement, car 'l'énergie suit la pensée'. Le toucher devient alors thérapeutique, traitant des simples contractures musculaires (torticolis, lumbagos…) aux déséquilibres des grands rythmes (sommeil, digestion, élimination…) aux séquelles de traumatismes psychiques (ruptures, suites de deuil…).
Le Sei Shiatsu a été choisi et proposé aux membres de l'Association Française de la Polyarthrite. Des praticiens assurent bénévolement depuis un an des ateliers de soins. Les retours sont excellents et les malades sont demandeurs de ses soins qui diminuent au moins ponctuellement leurs douleurs. Là, le Shiatsu ne prétend évidemment pas résoudre une pathologie lourde, mais simplement aider et soulager ces patients. La difficulté et la subtilité de la pratique ne consiste pas à éviter la douleur ou pire à la stimuler, ce qui augmenterait l'inflammation, mais plutôt à la contacter par un toucher qui la dissipe.
Le Sei shiatsu do ; la voie du Shiatsu sincère, la voie du bon cœur et de la loyauté, demande au thérapeute, solidité physique, bonne connaissance de la médecine chinoise et japonaise et ouverture du cœur sans laquelle aucune action ne peut toucher profondément et durablement. Elle est en affinité avec la pratique d'activités corporelles comme la danse, les arts martiaux, le tai-chi ou le chiqong qui développent une connaissance concrète du corps, des qualités de perceptions, de mouvement, de conscience corporelle et un potentiel énergétique supérieur.
Le Sei shiatsu do est née de la pratique professionnelle intensive de Bernard Bouheret, directeur de l'Ecole de Shiatsu Thérapeutique. Les praticiens sont rassemblés au sein de l'AIST, Association Internationale de Shiatsu Traditionnelle elle-même membre de la Fédération Française de Shiatsu Traditionnelle.
*** BIENTOT .........nous pourrons ensemble ........ partager vos émotions ........ vos difficultés ........ VOTRE ouverture Spirituelle ......vous aidera à mieux vous soulager de vos maux .........une comprehension de votre MOI_ personnel .......une profondeur nous irons chercher ..........pour vous soulager ........ infinie vous aidera ..... à devenir plus conscient ...... ensemble faisons nous plus grand ...... car nul ne peut vivre sans l'autre.........tout simplement humaine ....... tout simplement positive ......!! infinie vous dit à bientot ......... !!
Pourquoi doit-on apprendre à maîtriser ses émotions ? Parce que les émotions sont là quoi qu'on fasse, et ne nous demandent pas notre avis pour apparaître ; c'est comme une force qui est en nous pour le meilleur et pour le pire. Nous n'avons donc pas le choix : soit on les subit, soit on les pilote. Je compare souvent les émotions à des chevaux : les réguler, c'est maîtriser quelque chose de vivant, et au départ de plus fort que nous. Les émotions sont de bons serviteurs, mais de mauvais maîtres. Ce sont des forces biologiques qu'il faut absolument apprendre à conduire.
Comment ça marche, les émotions ? Si l'on se concentre sur les grandes émotions négatives, puisque les positives ne nous posent pas de problèmes, elles sont trois : la honte, la colère, et la peur. Toutes ces émotions se déclenchent fréquemment chez nous. Chaque fois que je serai doublé dans la queue de la boulangerie, je serai frustré - ce qui est un dérivé de la colère ; chaque fois que je vivrai une déception, qu'un ami s'éloignera de moi, j'aurai de la tristesse, etc. Les émotions sont une sorte d'intelligence pré-verbale, qui s'enclenche en réaction aux situations avant même que nos mécanismes de décodage et de compréhension n'aient eu le temps de s'effectuer.
Comment maîtriser ses émotions ? Comme nous venons de le voir, les émotions sont là avant les pensées. Mais après cette première phase, la manière dont nous allons lire la situation va pouvoir soit amplifier, soit alléger la situation de départ. Par exemple, si quelqu'un me passe devant dans une file d'attente, je vais avoir un petit mouvement naturel d'irritation, que je vais pouvoir aggraver en me disant "mais pour qui il se prend !" ou que je vais pouvoir contrôler en me disant que ce n'est pas grave. Les hyper-émotifs doivent absolument se contrôler, car plus on laisse libre cours à son émotion, plus on la renforce et plus elle aura tendance à s'exprimer librement et souvent. Aux inhibés, au contraire, on va apprendre qu'ils ont le droit de ne pas être d'accord et de l'exprimer calmement, et non pas de tout garder avant d'exploser.
Comment tirer parti de ses émotions ? Les émotions sont des très bons "starters" pour nous mettre sur la voie de ce qui ne va pas. C'est pour cela qu'il faut toujours les respecter et les écouter. Si je suis très triste, c'est qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans ma vie, et je dois trouver quoi. Mais je respecte aussi mon libre-arbitre. Une fois que les émotions ont joué leur rôle de signal d'alarme pour nous indiquer ce qui ne va pas, il ne faut pas que ce soient elles qui gèrent l'affaire jusqu'au bout ; l'esprit doit reprendre le contrôle pour déterminer de la réponse appropriée à l'incident. Il faut apprendre à faire la différence entre la situation, l'émotion, et les pensées. C'est ainsi que l'on pourra augmenter sa capacité de choix : est-ce que j'exprime mes sentiments ou non ? A quel moment ? Comment ? Et dans quel but ?
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Par Christophe André Psychiatre, auteur de "La force des émotions"
Si vous vous sentez suicidaire, arrêtez-vous pour lire ce qui suit. Cela ne vous prendra que cinq minutes. Je ne veux pas vous dissuader de la réalité de votre souffrance. Je ne vous parlerai ici que comme quelqu'un qui sait ce que souffrir veut dire. Je ne sais pas qui vous êtes, ni pourquoi vous lisez cette page. Je sais seulement qu'en ce moment, vous la lisez, et c'est déjà une bonne chose. Je peux supposer que vous êtes ici parce que vous souffrez et que vous pensez à mettre fin à votre vie. Si cela était possible, je préférerais être avec vous en ce moment, m'asseoir avec vous et parler, face à face et coeur ouvert. Mais puisque ce n'est pas possible, faisons-le par la biais de cette page. J'ai connu un certain nombre de personnes qui voulaient se tuer. J'ai moi-même été dans ce cas. J'ai donc idée de ce que vous pouvez sentir. Je sais que vous n'êtes pas capable de lire un gros livre, alors je vais faire court. Pendant que nous sommes ici ensemble pour les cinq prochaines minutes, j'ai cinq choses simples, pratiques, à vous dire et que j'aimerais partager avec vous. Je ne discuterai pas de savoir si vous devriez vous tuer ou pas. Je pense juste que si vous y pensez, vous devez vraiment souffrir.
Bien, vous lisez encore ce texte, et c'est très bon. J'aimerais vous demander de rester avec moi jusqu'à la fin de cette page. J'espère que cela veut dire que vous êtes au moins un peu incertain, au fond, quelque part à l'intérieur de vous, de savoir si oui ou non vous allez vraiment mettre fin à votre vie. On ressent souvent cela, même dans l'obscurité la plus profonde de désespoir. Etre dans le doute concernant sa mort, c'est normal. Le fait que vous êtes encore vivant à cette minute signifie que vous êtes encore un peu incertain. Cela veut dire que pendant que vous voulez mourir, au même moment, une partie de vous-même veut continuer à vivre. Tenons-nous à cela, et continuons quelques minutes de plus.
Commencez par penser à cette phrase :
“Le suicide n'est pas un choix, on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face.”
Dans le suicide, il ne s'agit que de cela. Vous n'êtes pas une personne haïssable, ou folle, ou faible, ou incapable, parce que vous vous sentez suicidaire. Avoir des idées noires ne veut même pas dire que vous voulez vraiment mourir - cela veut juste dire que vous avez plus de douleur que de ressources pour la prendre en charge maintenant. Si j'empile des poids sur vos épaules, vous vous écroulerez au bout d'un moment si j'ajoute suffisamment de poids… quelle que soit votre volonté de rester debout. (C'est pourquoi il est si inutile que les gens vous disent : “debout, garde le moral!” - vous le feriez, évidemment, si vous le pouviez.)
N'acceptez pas que quelqu'un vous dise, “il n'y a pas de quoi être suicidaire pour cela.” Il y a différentes sortes de souffrances qui peuvent mener au suicide. Qu'une douleur soit supportable ou non diffère d'une personne à une autre. Ce qui peut être supportable pour quelqu'un peut ne pas l'être pour vous. La limite où la douleur devient insupportable dépend du genre de ressources dont vous disposez. Les individus sont très différents dans leur capacité à supporter la douleur.
Quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face, le résultat, ce sont des pensées suicidaires, des “idées noires”. Le suicide n'est alors ni faux ni vrai; ce n'est pas un défaut de caractère; il n'y a pas à le juger moralement. C'est simplement un déséquilibre de la douleur par rapport aux ressources qui permettent de les affronter.
Vous pouvez survivre à des sentiments suicidaires si vous faites l'une ou l'autre de ces deux choses: (1) Trouver un moyen pour réduire la douleur, ou (2) Trouver un moyen pour augmenter vos ressources pour y faire face. Ou les deux à la fois.
Voici les cinq choses à prendre en considération dont je vous parlais tout à l'heure.
1
La première chose que vous avez besoin d'entendre, c'est de savoir qu'on s'en sort. Des personnes qui souffraient autant que vous en ce moment, s'en sont sorties. Vous avez donc de très fortes chances de vous en sortir. J'espère que cette information peut vous donner un peu d'espoir.
2
La deuxième chose que je veux vous suggérer est de vous donner du recul. Dites-vous, “j'attendrai 24 heures avant de faire quoi que ce soit.” Ou une semaine. Souvenez-vous que sensations et actions sont deux choses différentes - que vous ayez le sentiment de vouloir vous tuer, ne signifie pas que vous devez le faire maintenant. Mettez du recul entre vos sensations suicidaires et un passage à l'acte. Même si ce n'est que 24 heures. Vous en avez été capables 5 minutes en lisant cette page. Vous pouvez le faire encore 5 minutes en continuant à la lire. Continuez et prenez conscience du fait qu'alors que vous vous sentez encore suicidaire, vous n'êtes pas, en ce moment, en train d'agir en ce sens. C'est très encourageant pour moi, et j'espère que cela l'est pour vous.
3
La troisième chose est ceci: on pense souvent au suicide pour trouver un soulagement à sa douleur. On ne veut pas mourir mais arrêter de souffrir. Souvenez-vous que le soulagement est une sensation. Et vous devez être vivant pourla ressentir. Vous ne sentirez pas le soulagement que vous cherchez si désespérément, si vous êtes mort.
4
La quatrième chose est ceci: certains réagiront mal à vos sentiments suicidaires, parce qu'ils sont effrayés ou en colère; ces personnes peuvent même augmenter votre douleur au lieu de vous aider, en dépit de leurs intentions, en disant ou faisant des choses irréfléchies. Vous devez comprendre que leurs réactions négatives ont à voir avec leurs propres peurs, pas avec vous. Mais il y a aussi des personnes qui peuvent être avec vous pendant ces moments si difficiles. Ils ne vous jugeront pas, ne chercheront pas à vous contredire. Ils feront simplement attention à vous. Trouvez-en une. Maintenant. Utilisez vos 24 heures, ou votre semaine, et dites à quelqu'un ce qui se passe pour vous. Il est normal de pouvoir un jour demander de l'aide. Appelez une ligne d'écoute spécialisée (SOS Suicide Phénix, SOS amitié, appelez un centre spécialisé près de vous, ou regardez dans l'annuaire), appelez un psychothérapeute (psychanalyste, psychologue, psychiatre), quelqu'un qui est capable de vous écouter. Mais surtout ne portez pas le fardeau supplémentaire d'essayer de vous charger de cela seul. Juste parler de ce qui vous a conduit là peut vous enlever une grosse part de la pression qui vous pèse, et c'est peut-être juste la ressource supplémentaire dont vous avez besoin pour retrouver l'équilibre.
5
La dernière chose que je veux que vous sachiez maintenant est ceci: les sensations suicidaires sont, dans et par elles-mêmes, traumatisantes. Après leur disparition, vous avez besoin de continuer à prendre soin de vous. Commencer une thérapie est vraiment une bonne idée.
Bien. il s'est écoulé quelques minutes et vous êtes encore avec moi. J'en suis vraiment heureux.
Puisque vous avez été jusqu'ici, vous méritez un cadeau. Je pense que vous devriez vous récompenser en vous donnant une portion de ressources supplémentaires pour affronter la douleur . Souvenez-vous, plus haut vers le début de la page, j'ai dit que l'idée est de s'assurer d'avoir plus de ressources que de douleur. Alors donnez-vous en une supplémentaire, ou deux, ou dix…! jusqu'à ce qu'elles surpassent vos sources de douleur.
Maintenant, si cette page a pu vous apporter un quelconque soulagement, la meilleure et la plus grande ressource que vous pouvez trouver, c'est quelqu'un a qui parler. Si vous trouvez quelqu'un qui veut écouter, et si vous lui dites comment vous vous sentez et comment vous en êtes arrivé là, vous aurez vraiment augmenté vos ressources. Heureusement, la première personne que vous choissirez ne sera pas la dernière. Il y a beaucoup de gens qui aimeraient entendre ce qu'il en est pour vous. Il est temps de commencer à en chercher une autour de vous.
Et maintenant, j'aimerais que vous appeliez quelqu'un.
Soyez vous-même. “Les mots justes” ne sont pas importants par rapport au “ton juste”. Si vous vous sentez concerné, votre voix et votre attitude le montreront.
Écoutez. Laissez la personne décharger son désespoir, ventiler sa colère. Si cette occasion lui est offerte, elle se sentira mieux à la fin de l'appel. Peu importe combien négatif cet appel peut paraître, le fait qu'il existe est un signe positif, un appel criant à l'aide.
Soyez empathique, patient, calme. Acceptez, ne jugez pas. La personne qui appelle a déjà fait un pas et le bon en prenant contact avec une autre personne.
Si l'appelant vous dit “Je suis si déprimé que ça ne peut plus continuer comme ça”, posez LA question: “Est-ce que vous pensez au suicide?” Vous ne lui mettez aucune idée en tête, vous faites une bonne chose pour lui. Vous lui montrez que vous êtes intéressé, que vous le prenez au sérieux, qu'il est possible pour lui de partager sa douleur avec vous.
Si la réponse est oui, vous pouvez commencer à poser une série de questions supplémentaires: Avez-vous pensé comment vous ferez ?(PLAN); Avez-vous ce dont vous avez besoin pour cela? (MOYENS); Avez-vous pensé quand vous le ferez? (DATE). 95% des appelants suicidaires répondront non à l'une de ces questions ou diront que la date est fixée quelque part dans le futur. Ce sera un soulagement pour vous deux.
Le simple fait de parler de leurs problèmes pendant un certain temps soulagera les personnes suicidaires de leur solitude et de leurs sentiments jusque là refoulés. Cela leur permettra de prendre conscience qu'une autre personne se soucie d'eux et leur donnera le sentiment d'être compris. Cela les fatigue aussi beaucoup. Tout cela peut prendre le dessus sur leur état agité et les aider à passer le cap d'une nuit difficile.
Évitez de débattre, de tenter d'avoir raison en pensant résoudre leurs problèmes, de renvoyer rapidement vers quelqu'un d'autre, de déprécier ou de faire sentir à l'appelant qu'il doit justifier ses sensations suicidaires. La question n'est pas la gravité du problème, mais la gravité de la souffrance qu'il entraîne chez la personne qui y est confrontée.
Si la personne avale ou a avalé des médicaments ou produits toxiques, obtenez des détails (lesquels, combien, avec de l'alcool, d'autres médicaments, le dernier repas, sa santé générale) et appelez le Centre Anti-Poison le plus proche de chez elle. Une personne près de vous peut appeler pendant que vous continuez à parler au suicidant ou vous pouvez obtenir son autorisation et appeler sur un autre téléphone pendant qu'il écoute l'appel. Si le Centre Anti-poison recommande une assistance médicale immédiate, demandez au suicidant s'il a un parent proche, un ami, ou un voisin qui peut l'aider à le transporter ou se charger de l'ambulance. Dans quelques cas rares, la personne refusera initialement l'assistance médicale dont elle a besoin. Souvenez-vous que son appel est toujours un appel au secours et conservez un ton empathique et non jugeant. Demandez-lui son adresse et son numéro de téléphone au cas où il changerait d'avis (Appelez le numéro pour vous assurer qu'il est occupé.). Informez-le si votre standard ne permet pas de localiser son appel afin qu'il soit conscient des conséquences.
La personne qui téléphone peut appeler au sujet d'une autre personne suicidaire. Ecoutez-la, et rassurez-la en lui disant qu'elle a fait la bonne chose en prenant la situation au sérieux, et sympathisez avec sa situation stressante. Avec un peu de soutien, beaucoup d'intervenants tiers résoudront seuls pas mal de choses. Dans le cas rare où cet intervenant s'avère être le suicidant lui-même qui ne veut pas se dévoiler immédiatement, l'écoute vous permettra d'amener la conversation vers ses problèmes. Vous pouvez alors demander “Avez-vous été vous-même dans une situation où vous avez pensé au suicide?”
La plus importante ressource pour prendre en charge la douleur est l'aide d'un psy professionnel (psychologue, psychanalyste, psychiatre). Une personne qui se sent suicidaire doit obtenir de l'aide et l'obtenir plus tôt que trop tard.
1. Chakra racine
Crainte
Le droit d'être ici
2. Chakra sacré
Culpabilité
Le droit de ressentir
3. Chakra du nombril
Honte
Le droit d'agir
4. Chakra du coeur
Peine
Le droit d'aimer et d'être aimé
5. Chakra de la gorge
Mensonges
Le droit de dire et d'entendre la vérité
6. Chakra du troisième oeil
Illusion
Le droit de voir
7. Chakra couronne
Attachement
Le droit de savoir
Principales chakras
-(Nom Sanskrit)
-Couleur
-Siège de
Signe astrologique
Planète
Emotions associées
Leçon de vie spirituelle
Fonction psychologique
Association physique
Gland endocrinienne
Couronne Chakra
(Sahasrara)
Blanc ou Gold
Spiritualité
Leo
Sun
Déséquilibre émotionnel
Leçons liées à la spiritualité
Intégration de la personnalité totale avec la vie et les aspects spirituels de l'humanité
Dysfonctionnements de l'hypophyse.
Pineal
Third Eye ou Brow Chakra
(Ajuna)
Violet ou pourpre
Mysticisme
Cancer
Lune
Imagination, l'idéalisme, love
Leçons liées à l'esprit, d'intuition, de vision et de sagesse
Capacité de visualiser et de comprendre les concepts mentales. La possibilité d'effectuer des idées de manière pratique.
Le sens de l'odorat, Brain, yeux, nez, oreilles
Hypophyse
La gorge Chakra
(Vishudhi)
Bleu ou Indigo
Paix
La vierge/Gemini
Mercury
Honnêteté et dishonesty, critique
Leçons liées à la volonté et l'expression
En et assimilation. Sens de soi au sein de la société et de la profession.
Cordes vocales, les systèmes pulmonaires et bronchiques, les systèmes nerveux
Thyroïde
Cœur Chakra
(Anahata)
Vert ou rose
Harmonie
Balance/Taurus
Vénus
Amour, la compassion, la protection des instincts
Leçons liées à l'amour, de pardon et de compassion
Ouverture à la vie et le coeur des sentiments d'amour pour les autres êtres humains. Ego et sera vers le monde extérieur
Cœur, circulation sanguine, poumon, respiration, le système immunitaire, hormones thymosin, touch/sensation
Thymus
Plexus solaire Chakra
* & Rate *
(Manipurak)
Jaune
Rationalité
Scorpion/bélier.
Mars
Pluton secondaire
Chaleur, nature éducateur, fougueuse
Leçons liées à l'ego, de personnalité et d'estime de soi
Plaisir et expansiveness, sagesse spirituelle et la conscience de la connexité de toutes choses. Guérison et intentionnalité vers la santé.
L'estomac, système digestif, rate, le métabolisme de sucre / l'insuline régulation et de contrôle, processus digestifs endocrinienne, de chaleur
Pancréas
Chakra sacrée
(Svadasthan)
Orange-rouge.
Créativité
Sagittaire/poissons.
Jupiter
Neptune secondaire
Désir, la jalousie
Leçons liées à la sexualité, de travail et de désir physique.
Quantité d'énergie sexuelle. Quantité d'amour ; donner et recevoir le plaisir physique, mentale et spirituelle.
Reproduction sexuelle, équilibre hormonal